Peintre d’instinct, Jean Barbelanne se veut dans la    problématique contemporaine en accueillant l’accident gestuel. Peintre de " l’étrange ", ses toiles violemment colorées, nous attirent et nous invitent à changer  de  regard sur le monde qui nous entoure.

" Venez découvrir ma peinture, qui se veut joyeuse et immersive, où les couleurs ont la place belle".

Les multiples facettes du carton : déchiré, broyé, malaxé, assemblé, tressé, transformé….

Métamorphose et surprise !

Dévoiler ces mille printemps qui éclosent chez l'Homme et dans la nature... une beauté intérieure, silencieuse, habitée d'émotions camouflées qui renaissent sans cesse. «J’aimerais que mes œuvres soient un reflet au-delà de l’éclosion, des floraisons et du " désordre parfumé " : une déclosion ».                         

Mannequins qui imitent le corps humain pour nous transformer en objets de consommation ou corps humains vidés de leur âme et transformés en mannequin ?

J'ai vu des choses que vous n'imaginez pas. Des vaisseaux d'attaque en feu au large d'Orion. J'ai vu des rayons C scintiller dans l'obscurité près de la Porte de Tannhäuser.

"Le temps qui passe égrène des souvenirs, des points d'ancrage.
Un passé déchiré peut-il se recomposer ?
La vie est une succession de sensations et d'émotions qui organise le présent en un puzzle de tensions ou de plénitude.
Etre là, maintenant.
Peindre ces anfractuosités, les gens...
Sculpter les reliefs délicats ou bruts dans la terre d'ici.

Voyageur sans à priori, le photographe est un passeur d’images.             

Sur notre urbain, sur les traces de l’homme dans la cité, il voit des gens qui agissent et jouent provoquant réflexion et laissant libre cours à l'imagination.                               Soyons curieux du voisin d’ici, d’ailleurs, de la vie derrière les  murs.

Le parcours de l’artiste est inspiré par la nature omniprésente dans ses œuvres.

Philippe Gaillard (décédé),

L'un des premiers soutiens d’ART-Quercy

Lumineux !

 Denise Grisi est une artiste solitaire de l'art outsider et crée des tableaux singuliers très colorés sous autohypnose.

Cette approche de création artistique est unique.

Denise Grisi se laisse guider par les images, les formes et les couleurs qui surgissent spontanément dans son esprit, sans chercher à les maîtriser ou les rationaliser, se libérant des conventions et des contraintes imposées.

Licencié des Beaux Arts britanniques et titulaire d’une maîtrise d’Histoire d’Art Moderne, l’artiste aujourd’hui vit et travaille à Caylus.                           

« Les mystères enfouis sous la surface des choses m’interpellent. En me fixant sur le phénomène visuel, arrive le moment où l’élément abstrait se révèle (forme, couleur, composition) provoquant une image captivante ".                                  

A la source du concept d’angoisse, le « paradoxe de la « présence – absence » sans doute, où l’éloignement provoquerait le rapprochement.

                                                                                     (Soeren Kierkegaard)

Peinture vibrante où la couleur et la lumière servent une vision teintée de nostalgie en découvrant la mélancolie de lieux abandonnés et questionnant le progrès, la modernité, la mémoire collective. Émotion et poésie plus que strict                réalisme, une démarche qui invite à une expérience où                l’imaginaire a toute sa place.

Dans le couloir du temps, un voyage onirique  vers de    lointaines mémoires archétypales où apparaissent        d’énigmatiques palimpsestes ou des formes singulières plus abstraites. Une œuvre poétique servie par de subtiles tonalités exhalant un délicat souffle de Spiritualité.

Épris de beauté et révélant toute sa sensibilité, l’artiste invite pour  un voyage où le temps s’évanouit.  Une peinture surprenante où le chemin se dessine au milieu du chaos fantomatique et abstrait d’un monde intérieur.

Visages de générations différentes ou de personnages atypiques.

Pochoirs peints à la bombe sur du carton d’emballage recyclé ou du papier spécial.

Invitation à un voyage dans la couleur, autour du monde et, aux frontières de l’imaginaire. »

Initiant à la photographie créative, les ateliers du photo-club présentent une démarche au-delà de la simple reproduction et vise  à transformer des scènes ordinaires en images marquantes. L’alternative fondée sur des « techniques intentionnelles » provoque un questionnement,       déclenche une émotion à partir d'un vécu.    

Les glaciers  de Darwin,  via le Cap-Horn,  séjour au

« Bout du Monde » sont un enchantement, même s’il est écrit que  le Cap-Horn et le passage de Drake sont les pires endroits  au monde. Goût pour la nature et envie de liberté, voyageur des glaces Japy n’a plus qu’une idée : atteindre l’Antarctique et signe pour l’aventure. 

Peintures nées de mondes intérieurs émerveillée, là où mes  pas se portent, dans le souffle qui me rapproche des  chemins sauvages.

"L’artiste explore la métamorphose et la fragilité à travers une rose fondante qui symbolise la beauté éphémère et la fluidité de la nature.  Dans un style émotionnel et audacieux, elle invite à une réflexion sur la transformation et « l'impermanence » de toute chose.

Sculptures à quatre mains. La composition joue entre transparence et opacité, épaisseur brute du support et légèreté du verre, elle crée un espace où les reflets s'échappent du grès ou du bois qui les portent. Sculptures de verre aux titres prometteurs :

Aphrodite – Vers le large - Cascade - Éclosion - Bulbe.

Sculptrice animalière, je façonne des armures et carapaces à l'aide  de plaques de textures et d'empreintes réalisées en  terre (grès). Tous ces merveilleux animaux révèlent ainsi leur beauté et leur préciosité.

Des sculptures en terre aux formes déliées, courbes et fluides, explorent la subtilité de la matière.

Par métaphores, la féminité est extraite du végétal ou du minéral.

Influencé par l’hyperréalisme, l’immobilité, la répétition puis la danse, Michel Dunand présente « Regards » une série de trois sculptures.

Façonnant l’argile directement en présence du modèle, l’artiste laisse aller l’« Errance » du regard sur les corps nus.

"Fascinée par la diversité et la force de la faune sauvage et troublée par l'impact de l'action humaine sur le monde animal, Valérie GIBAULT crée un bestiaire en bronze ou céramique porteur d’un questionnement et d’un message."

« C’est donc en fils d’acier assemblés un à un centimètre par centimètre sans structure initiale. Comme si je les posais sur  mon imaginaire  qu'ainsi est né l'inconnue " :

                   Un hologramme projeté sur l’établi

"S'agissait-il d'une archéologie inventée, ou simplement d'un terrain de jeux d'enfant redécouvrant ses repères pour mieux les remodeler?

Mes sculptures sont construites à partir de matériaux naturels et industriels, lisses et rugueux, bruts et colorés, souples et rigides. Elles confrontent masse et ligne, pleins et vides.  La robustesse des matériaux est fragilisée par les jonctions visibles des montages et les liaisons des assemblages...

Tout un monde silencieux, servile ou solidaire : des faibles, des forts, des victimes ou des bourreaux, témoigne d'un présent tumultueux et d'un passé enfoui.

Les créations sont toujours traitées avec humour et dérision, sont toujours tout en récup !!!